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  • Aujourd'hui je vous propose d'aborder le travail d'Olivier Houdé :

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    Né le 28 juin 1963 à Bruxelles, Belgique, de nationalité Française. Oliver Houdé est i nstituteur de formation initiale, Professeur de psychologie du développement à l'Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité, Directeur du LaPsyDÉ (CNRS), Membre Senior de l'Institut Universitaire de France (IUF), spécialiste du développement cognitif des enfants et des apprentissages, à partir de l’étude des comportements et de l’imagerie cérébrale.

    Il est également l'auteur de plus de 500 publications et communications scientifiques dont 21 livres.

    Présentation des systèmes  S1, S2 et S3 :

    Pourquoi entrainer le cerveau à résister :

    Ces travaux ont pour cadre le développement de l'enfant. Le développement de son raisonnement et sa capacité d'apprendre.

    Ce serait une réduction que de les contraindres exclusivement à ce domaine. Ils nous permettent un éclairement précieux des mécanismes impliqués dans le ptsd et plus généralement dans les situations ou l'aspect émotionnel prend le pas sur l'aspect raisonnement. Et l'inverse également, ces situations d'hyper mentalisations ou l'instinct et l'émotionnel ne sont plus pris en compte.

    Et c'est en ce sens qu'il suit l'article sur la sensibilisation à la méditation. Car bien souvent on me demande comment entrainer le cerveau à développer cette capaciter de vicariance ( S3), cette capacité à inhiber un système au profit de l'autre pour les compléter.

    L'entrainement à la méditation me semble un outil précieux pour cela. Et ce quelque soit l'age, à partir du moment ou il est adapté et respectueux des besoins individuels.

    Et réciproquement, les difficultés que nous avons à entrer dans l'ascèse méditative témoigne de notre capacité à gérer ce système S3.

     

     

     


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    Face à la souffrance nous avons instinctivement, chacun nos  manières de réagir et d'agir. Or , bien souvent si nous n'entrainons pas notre esprit à se "décoller" de nos perception, croyances et pré jugés, cela nous conduit à subir nos émotions. Ces émotioons, souvent des instants brefs, vont s'accumuler les unes aux autres pour devenir des moments plus longs dans la journée. Suffisament longs pour marquer cette journée de leur empreinte. Comme une météo intérieure. Et ces accumulations de moments plus ou moins longs vont à leur tour s'aggréger pour influer notre état d'esprit en nous laiisant centré sur les causes "probléme" que nous ressassons indéfiniment.  D'ou l'importance de s'entrainer à" recevoir" une émotion. C'est ce que peut permettre en autre la pratique de la méditation.

    Loin de tout dogme religieux, Mathieu Riccard, propose ici une sensibilation à cette pratique. Car aussi simple que cela puisse parraitre cette pratique elle requière une méthode, un cadre. Faute de quoi nous nous épuisons en vaine gesticulations.

    Si je vous propose cette conférence c'est pour ses propos pragmatiques et accessibles ainsi que pour sa teneur laïque. Bien souvent les freins à cette pratique sont: la crainte d'un endoctrinement religieux ou la croyance qu'il faut des connaissances spécifiques.

    Ce n'est pas le cas. Ce qui ne signifie pas qu'un cadre religieux n'est pas aidant. Mais renvoie à la liberté de tout un chacun.

    Pour ceux qui hésitent : essyez, vraiment, sincèrement avec méthode et implication.

    N'hésitez pas à partager vos réflexions et évolutions.

     


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  • Une réflexion sur les liens entre valeurs et besoins au service de l'organisation.

    Avec une petite vignette synthétique :

    Priorité aux priorités


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  • Les recherches débutées par le professeur Ekman, prennent une tournure " numérique" :

    https://www.ted.com/talks/kang_lee_can_you_really_tell_if_a_kid_is_lying

    Les applications de ses recherches me laissent songeur et me rappellent un roman de Larry Collins : Dédale.

    Suite des travaux du Professeur Ekman

    Une réflexion qui s'appuie sur des bases scientifiques, le tout sur une histoire d'espionnage. Après les 50 premières pages, il se lit avec avidité!

     


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